Nous voilà de retour après un peu plus de 3000km, nous avons au cours de notre voyage allé des températures de – 6 degrés et je ne vous dit pas notre moral vus cette froideur, arrivée à Méquinenza vers 12h avec seulement 1 degré vous imaginez qu’on croyais au capot.
Après possession et installation dans notre Lodge, Naim et moi-même, nous lançons notre percutant moteur de 9cv avec notre péniche. L’évidence pure, 5km/h sur l’eau et l’on était à fond, hihi. On décide de ne pas aller trop loin et de se trouver du fond.
Naim clonk et clonk et rien ne monte, après quelques minutes de dérive on passe de 11m a 4m, j’avais une canne verticale digne de pêcher la truite et du 10centième en tresse que Naim m’avait prêté et garanti contre la casse, je suis surpris par une touche de fond et au bout de 2sec je dis a Naim <a> il me traita avec des noms d’oiseaux pour être poli et je lui avais prévenu que j’avais beaucoup de chance. hi hi. Mais notre bonheur sera de courte durée car après quelques rushs devant le bateau, c’était la décroche. Pfff.
Durant ce séjour, nous avons eu pas mal de touche et quelques décrochages, je peux vous dire que nous avons vu quelques terribles échos a faire trembler Naim, nous avons pris 20 silures de toutes taille, le plus petit comme une truite et le plus gros 1.85m. Evidement ce n’est pas ce que nous attendions mais comme Valette nous a dit <c>. Le principal c’est le plaisir et les souvenir qui restera gravés dans notre tête. Je vous laisse quelques photos avec commentaires de notre séjour.
Voici le barrage de Méquinenza
Voici Naim avec le premier d'une longue série
ha ha un beau pour thierry fersec
voilà nos calamar et encornet car pas possible de faire un seul vif
remise a l'eau avec toutes les attentions
Mais on a pas que pêché
les gros fond plaisir mais la joie d'un petit ce lit sur le visage
en voici une de naim a la barre de son super bassboat a 5km/h
et voilà le plus gros pour naim
le retour
J'ai pu faire la connaissance de notre ami snake et je peux dire qu'on c'est taper des délires et on a bien rigolé, nous étions au total 8 personnes et aucun pêcheur silure sauf nous deux donc on s'est régalé d'apprendre aux autres notre joie de la pêche des moustachus et je suis sur que plusieurs ont attrappés le virus (hein Thierry) .
Nous avons rencontré beaucoup d'inconvénients en arrivant
1) Le temps, il gêlait et l'eau était très froide avec 9 en aval et jusque 14 vers le barrage.
2) Nous avions loué une villa avec ponton privé où nos amis avait pêchés l'année passée avec des résultats plus que satifaisants mais rien de rien n'a démmaré devant cette villa.
3) Donc nous avons du pêcher avec les 3 barques misent à notre disposition, carolina 16jv et moteur 9cv, incroyable lenteur et snake devenait fou
Vus ces déplacements très lents nous n'avons pu que prospecter que quelques kms de cette magnifique rivière.
4) Vus notre déplacement très lent et la pression de pêche énorme avec des carpistes partout on ne pouvait pas exploiter les meilleurs tranches d'heurres, soirée, matinée, et début de nuit vus que la pêche est autorisée jusque minuit.
5) Le prix de l'aventure pour le service rendu du guide
6) Impossible de prendre ou d'acheter un vif.
J'ai été impressionné par:
1) Snake
2) La bonne ambiance entre wallon et flamand
3) Quelques très gros échos
4) Les fishs qui montent à l'écho sans savoir les prendre même à faire trembler snake
5) Le dévouement d'antonio pour la cuisine
6) L'aspect commercial de la pêche au silure
J'y avais déjà été à Méquinenza en 1995 et après 12ans j'y suis retourné en croyant que c'était mieux qu'à l'époque mais je crois qu'il me faudra encore quelques années pour que j'y retourne mais il n'y a que les fous qui ne changent pas d'avis .
Je mettrais quelques photos demain sur le site.
Sujet: De retour de Méquinenza 
